đ Mon cerveau a besoin dâinterprĂ©ter les signaux que lui renvoie le monde de façon Ă en crĂ©er une reprĂ©sentation cohĂ©rente et stable.
Lorsque les informations perçues dans une situation donnĂ©e sont ambiguĂ«s, sans que jâen ai conscience, mon cerveau fait des suppositions en opĂ©rant un choix parmi diffĂ©rentes options, en lien avec mon propre rĂ©fĂ©rentiel (filtres individuels et socio-culturels, Ă©ducation, valeurs, croyances, expĂ©riences, peurs, envies âŠ. )
đŁ En faisant totalement confiance Ă ma perception, je considĂšre que nous avons tous la mĂȘme. Je confonds ma perception d’une situation avec la rĂ©alitĂ©. Chacun dans sa posture, estime avoir raison et ne comprend pas que l’autre puisse se tromper, sans en avoir conscience.
đ De mon point de vue, c’est l’origine de nombreux affrontements et dysfonctionnements tant dans la sphĂšre professionnelle que dans la sphĂšre personnelle.
Partager nos interprĂ©tations dâune mĂȘme situation sâavĂšre extrĂȘmement pertinent pour gommer nos biais cognitifs et Ă©clairer nos angles morts respectifs.
Accessoirement cela permet aussi de prendre de meilleures décisions grùce à une conscience à 360° de la problématique. Indispensable sur les sujets complexes avant de chercher à résoudre ou construire quoi que ce soit !
Câest pour cette raison que je propose Ă mes clients
đ de multiplier les occasions d’Ă©changer les paires de lunettes,
đ d’intĂ©grer systĂ©matiquement des reprĂ©sentants de toutes les parties prenantes au sujet dans le groupe de travail,
đ et enfin de questionner les intentions individuelles : avoir raison ou enrichir sa comprĂ©hension du sujet, pour s’engager ensemble vers le mĂȘme cap, et trouver les meilleures solutions ?
Vous avez envie d’en savoir plus ? Parlons-en !
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