Chacun sait exactement ce qu’il doit faire. Mais on patine, on se noie dans les justifications et on replanifie sans cesse…
Ça m’agace, je rappelle les enjeux, je pousse, je tire, je mets la pression, cela ne rĂ©sout rien !”

L’iceberg illustre Ă  merveille ce genre de situation. le manager ou le chef de projet se focalise souvent sur ce qui est visible, au dessus du niveau de la mer. On veut des rĂ©sultats concrets et rapides, c’est lĂ©gitime.
Et trop souvent, on oublie la partie immergée de L’iceberg. Sous le niveau de la mer, c’est sombre, on voit mal ou pas du tout les blocs de glace ou les requins. C’est le lieu des non-dits.

✔ “Impossible de dire ce que je pense, ça risque juste d’envenimer les choses, je préfère rester bienveillant et éviter le conflit.”
âś” “J’ai dĂ©jĂ  essayĂ© mais personne ne m’a Ă©couté”
✔ “Certains manquent d’écoute et de bienveillance. Les ego prennent le dessus et on perd de vue l’intérêt commun pour l’entreprise.”
âś” “Je ne suis pas d’accord sur la mĂ©thode mais seul contre tous, c’est perdu d’avance, je prĂ©fère me taire mĂŞme si je n’en pense pas moins.”
✔ “Dire tout haut ce que tout le monde pense, non merci, ça se retournerait contre moi.”
Peu importe la raison des non-dits, ils sont présents et bien qu’invisibles, ils bloquent la dynamique de l’équipe.

🔑 La solution ?
Faire baisser le niveau de la mer et regarder ensemble la partie immergĂ©e de l’iceberg et les requins.
Parler de ce qui coince est une condition essentielle du bon fonctionnement d’une équipe, donc de sa performance. Cela implique de lâcher le “c’est la faute de l’autre” et de prendre sa part de co-responsabilité :
💎 Parler de “ce qui coince” en prenant soin des personnes permet de créer du “nous”, puis de dépasser ce qui nous empêche d’avancer.

👉 Comment avancent vos projets ? Vos équipes sont-elles autonomes pour parler de ce qui coince ? Parlons-en

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